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TALMUD

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À l'origine apparaissant en volume V26, page 386 de l'encyclopédie 1911 Britannica.
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TALMUD , See also:

le See also:grand See also:thesaurus rabbinique qui a grandi pendant See also:les quatre premiers ou six siècles de l'ère chrétienne, et, avec le vieux testament, sont devenus la "See also:bible" See also:des See also:juifs, et les soumis en See also:chef de leur activité littéraire suivante. 1. Contents.The Talmud (l'"enseignement hébreu, apprenant") comprend le Mishnah (Heb. oral" [ répétition de ], enseignant"), une collection systématique de décisions religieux-légales développant les See also:lois du vieux testament, et le Gemara ("accomplissement aramaic, décision, "ou peut-être également" enseignant"), le matériel, légaux supplémentaires et autrement.' Le tout était dans deux grands recensions, Palestinien et Babylonien. L'autre matériel lié au Mishnah est préservé dans le Tosephta (See also:Aram. "addition") et le Midrashim, et puisque tout ceux-ci, ainsi que le Targziinim, représentent la littérature rabbinique orthodoxe reliant le vieux testament au judaism médiéval et See also:moderne, le lecteur devrait également consulter les JUIFS d'See also:articles (pièces ii. et iii.), See also:MIDRASH, See also:TARGUM, et pour un traitement plus détaillé et plus See also:critique les références données à l'encyclopédie juive. 'Mishnah se tient contrairement à Miqra ("See also:lecture, scripture"); son équivalent d'Aram. est Mallznitha, de de tendre, "à répéter, 'd'où l'appellation Tannd," See also:professeur "(§ 3 ci-dessous). Ceux-ci et les See also:limites Gemara, Talmud, &See also:amp;c., plus entièrement sont expliqués en Einleilung de valeur inestimable de H. L. Strack's dans le repaire Talmud (See also:Leipzig, '1908), sqq de pp 2. Le Mishnah est See also:arrangement plus ou moins soigneux de la See also:loi orale existante (voir le § 2). Il See also:forme la See also:base du Gemara, et est divisé en six Seddrim ou ordres, chaque contenir un See also:certain nombre de MassektOth ("weavings, "See also:cf. l'See also:etymology du l'" See also:texte") ou Tractates. Ceux-ci sont subdivisés en Peragim ("sections") ou chapitres, et See also:ces derniers encore en paragraphes ou phrases.

I. Zera`im ("graines"), le See also:

premier See also:ordre, sur l'See also:agriculture, est présenté par (i) Berakoth ("bénédictions"), dessus See also:journal et d'autres prières et bénédictions. (2) Pe'ah ("coin"), affaires avec See also:Lev. xix 9 seq., xxiii. 22; Deut. xxiv 19-22, et les droites des pauvres. (3) Demai, ou plutôt Dammai ("douteux"), sur des See also:cas douteux concernant See also:tithing des offres de See also:fruit. (4) Kil'ayim ("de deux sortes"), sur les mélanges interdits (Lev. xix 19; Deut. xxii 9-ii). (5) Shebi`ith ("septième"), l'année sabbatical (xxiii ex. J'I; Lev. xxv 1-8; Deut. xv I sqq.). (6) Terume-See also:Th ("offres de poussée"), sur les lois dans xviii numérique. 8 sqq., 25 seq.; Deut. xviii 4. (7) See also:Ma`asroth ("See also:tithes") ou Ma`aser Ri'shon ("premier tithe"), concernant le See also:Levites, xviii numérique. 21-24.

(8) Ma'aser Sheni ("deuxième tithe"), concernant le tithe mangé à Jérusalem, Deut. xiv 22-26. (9) Hallah ("gâteau"), sur xv numérique 18-21. (à) 'Orlah ("foreskin "[ des arbres ]), sur Lev. xix 23-25. (ii) Bikkiitrim ("premier-fruits"), sur xxiii ex. 19; Sqq de Deut. xxvi. i. Le quatrième See also:

chapitre de ce traité, imprimé dans la plupart des éditions, est correctement un Baraitha. II. See also:MOIS ED ("festival"). (i) Shabbath, sur le See also:Sabbath comme See also:jour du See also:repos, xx ex à, xxiii. 12; Deut. v. 14, &c.

(édition utile d'ici Strack, 1890). (2) ` Erubin ("mélanges "ou amalgamations), sur des méthodes légitimes d'éviter des restrictions incommodes au Sabbath. (3) Pesahim (sacrifices et See also:

repas de "passovers"), sur XII ex, xiii. 6-8, xxiii. 15; Lev. xxiii 5 sqq.; Xxviii. numérique i6 sqq.; Deut. xvi t sqq., &c. (4) Shegalim ("shekels"), sur l'impôt local (xxx. ex 12 sqq.; Neb. X. 33). (5) Yonia (Aram. "le jour"), ou Kippurim ("See also:atonement"), ou Y. See also:ha-k. ("le jour de l'atonement"), sur Lev. xvi, xxiii. 26-32 (édition utile par H.

L. Strack, Leipzig, 1904). (6) Sukkah ou Sukkoth ("booth[s ]"), sur Lev. xxiii. 34 sqq.; Numérique. xxix. 12 sqq.; Deut. xvi 13-16. (7) tob de Besah ("See also:

oeuf, "le mot d'See also:ouverture) ou de Yom ("bonne [ journée c.-à-d. de régal ]"), règles générales pendant des régal-See also:jours. (8) Rosh ha-Shanah (d'"festival See also:nouvelle année"), aux services, le See also:calendrier, et plus en See also:particulier au début du septième mois (cf. x. numérique à, xxviii. i t sqq., &c.). (9) Ta'anith ou Ta'aniyyolh, c.-à-d. "fast[s ]," observances spéciales reliant le thereunto; en particulier au public jeûne désigné en See also:temps de sécheresse. (à) Megillah, "See also:rouleau" (d'See also:Esther), la lecture d'elle chez See also:Purim, &c.

(ii) Mc'ed Titan ("le See also:

petit M, "pour le distinguer du nom de cet ordre), ou Mashkin (le premier mot), règlements pour les festivals intermédiaires chez See also:Passover et Tabernacles. (12) Hagigah ("festival"), sur les trois principaux festivals, Deut. xvi 16, le See also:devoir des pélerins et les defilements à éviter (transl. de Bab. Talm. par A. W. Streane, Camb., 1891). xxx. (4) Nazir ("Nazirite"), sur vi. numérique (5) Giftin ("documents"), sur le See also:divorce et la séparation. (6) SOtah ("la femme infidèle"), sur v. numérique 11-31. (7) Qiddushin ("sanctifications "de See also:mariage), sur la contraction du mariage légal. IV. Nezigin ("See also:dommages"), également connu See also:sous le nom de Yeshu`oth ("contrats d'aide").

(i) See also:

Gamma de baba (Aram. "la première See also:porte"), sur les dommages et la See also:compensation; loi civile (2) B. Mesi a (Aram. "la porte See also:moyenne"), en ventes, baux, propriété perdue. (3) B. Baths (Aram. "la dernière porte"), sur les immobiliers, See also:succession, &c. (4) Sanhedrin (avvESpwv), sur le procédé et le droit pénal (5) Makkoth," coups, "sur le nombre à infliger (Deut. xxv 1-3) et pour quelle offense, &c. (6) Shebis`oth ("serments"), sur le sqq 4 de Lev. v.. (7) 'Eduyyolh, "témoignages," à savoir de plus défunts professeurs concernant leurs prédécesseurs, sur les écoles de See also:Hillel et de See also:Shammai, 'Aqiba, &c., important pour le problème de la croissance littéraire du Mishnah. (8) ', Ibodah 'Zara ("culte idolâtre"), règlements dans la référence à idolatry païen (édition utile avec le transl de germe. par Strack, 1909; et incluant See also:cela du Gemara par F.

C. See also:

Ewald, See also:Nuremberg, 1856). (9) 'AbOth ou Pirqe A. ("énonciations des pères"), une collection célèbre de See also:maximes; le sixième chapitre sur "la See also:possession de la loi" pas correctement, appartenir au Mishnah (ED avec le transl. par C. Taylor, Camb. 1897, et en See also:allemand par H. L. Strack, 1901). (See also:bas) Horayolh ("décisions"), sur erreurs juridiques et autres (Lev. iv. I sqq.). V.

Q6dd-shim ("choses See also:

saintes"). (i) Zebahim ("sacrifices"), ou gbdashim de shehi(See also:ath ("l'See also:abattage des choses saintes"), sur les lois sacrificatoires, &c. (2) Menahoth ("See also:viande-offres"), sur Lev. ii. 5, Ii-13, vi. 7-16, xiv 10-20, &c. (3) Hullin ou Shehilath H. ("[ l'abattage de ] choses communes"), sur la viande non-sacrificatoire: (a) Bekoroth ("premier-See also:soutenu"), sur les firstlings (xiii ex. Iz seq.; Lev. xxvii. 26 seq.; Viii. numérique 16-18, xviii. I5-17;' Deut. xv 19 sqq.). (5) 'Arakin ("évaluations "pour le See also:ransom, le &c.), sur Lev. xxv 15-28, 29 sqq., xxvii. 2 sqq., 28 (6) Temurah seq.

("échange des animaux consacrés), cf. Lev. xxvii. à, 33. (7) See also:

Ker-ithoth ("découpant"), sur l'See also:excommunication, &c. (8) Me`ilah ("violation"), sur Lev. v. 15 sqq.; Numérique. v. 6-8. (9) Tamid, sur l'"continuel ou perpétuel (journal 'brûlé offre)," xxix ex. 3842; Xxviii. numérique 2-8. (1o) Middoth ("See also:mesures"), un tractate important sur le See also:temple (mesures, See also:portes, halls, &c.). (ii) Qinnim ("nids"), sur des sacrifices des See also:colombes par les pauvres (cf.

Lev. i. 14-17, v. I sqq., XII 8). VI. Tohoroth ou Teh., "purifications," un euphémisme pour les choses qui sont rituellement ou ceremonially "malpropre." (1) Kelim ("navires"), leur uncleanness (cf. Lev. XI 32 sqq.; Xix numérique 14 sqq., xxxi. 20 sqq.). (2) Ohaloth ("tentes"), sur le defilement par un See also:

cadavre (xix numérique 14-20), &c. (3) Nega'im ("pestes, "c.-à-d. lèpre), sur Lev. (4) See also:Farah seq. ([ rouge ] la" génisse"), sur xix numérique (5) Teharoth (euphémisme pour des impuretés), sur des defilements mineurs.

(6) Migwa-'oth (bains rituels), se baignant pour défilé (cf. Lev. xiv 8, xv. 5 sqq.; Xxxi. numérique 23; également See also:

marque vii. 4). (7) Niddah ("impureté "See also:femelle), sur Lev. xv 19-33. (8) Makshirin ("prédisposant"), ou Mashgin ("liquides"), sur le defilement provoqué par les choses malpropres humides (cf. Lev. XI 34, 37 seq.). (9) Zabim ("ceux avec une décharge"), sur Lev. xv (à) Tebul Yom ("immergé pour [ ou dessus ] le jour"), sur ceux qui ont pris un See also:bain See also:rituel et doivent attendre jusqu'à ce que coucher du See also:soleil avant de devenir rituellement purs (voir le Lev. xv 5, xxii. 6 seq; Xix numérique 19). (ii) Yaddyim, "mains, 'leur See also:purification (cf. mat. xv 2, 20; Marque vii.

2-4, &c.). (12) Ugrin ('tiges"), sur la relation entre le fruit et les tiges et les tiges en ce qui concerne le defilement, &c. Pour commander IV. le recension babylonien du Talmud ajoute See also:

sept traités, qui sont d'origine postérieure et sont considérés en tant que plus ou moins supplémentaire-canonique. (i) Aboth de Rabbi Nathan, une expansion IV. de 9, attribuée à un deuxième-siècle Rabbi, mais See also:poteau-Talmudic (ED S. Schechter, 1887). (2) Sopherim ("See also:pointes à tracer"), sur l'écriture des rouleaux du See also:Pentateuch, règles grammaticales (de Massoretic), et (une addition postérieure) sur le See also:liturgy (ED J. See also:Muller, Leipzig, 1878). (3) See also:Ebel Rabbathi ("grand pleurer"), ou, euphemistically, Semahoth C 'joies"), sur des règles de customsand de deuil. (4) Kallah ("betrothed, jeune mariée"), sur le chastity dans le mariage, &c. Derek avant (5) Rabbah, et (6) Zula, un "grand" et "petit" traité sur de diverses règles de "conduite" et de vie sociale. (7) Pereq ha-Shalom, un "chapitre sur la See also:paix" (peacefulness). En plus de ces sept, d'autres petits traités de Talmudic sont également comptés (édité par R.

Kirchheim, See also:

Frankfort-sur-See also:Principal, 18ö). Ceux-ci traitent (i) l'écriture des rouleaux de la loi; (2) Mezuzah (bosselure vi. 9, XI 20); (3) Tephillin (prières, phylacteries); (4) les franges (xv numérique 38); (5) esclaves; (6) le See also:Samaritans (voir le J. A. See also:Montgomery, le Samaritans, sqq de pp 196.); et (7) proselytes. Le Mishnah lui-même contient 63 tractates, ou, puisqu'cIv. 1-3 à l'origine formé un (appelé Nezigin) et IV. 4, 5 ont été unis, õ. Le nombre est également donné comme 70 (cf. 2 Esd. xiv 44-46), peut-être en incluant les sept plus petits traités apposés à l'cIv. Il y a 523 chapitres (ou de 525, voir le I. See also:If, IV. 9). 2.

L'origine de la distinction soigneuse de Mishnah.A a été dessinée entre la loi écrite, la mosaïque Torah, et le See also:

reste du Scriptures (mia de z?+?;m), et de la loi orale, ou de Torah de vive See also:voix (ntra de n;'n). L'origine du dernier, qui est devenue codifiée dans le Mishnah, a été souvent discutée. On l'a supposé qu'il avait été remis vers le bas par See also:Ezra; qu'il était endetté à See also:Joshua, à David ou à Solomon; qu'il était aussi vieux que See also:Moses, à qui il avait été communiqué oralement ou dans l'écriture, accomplissez ou dans son essence. La vue traditionnelle est bien illustrée dans les mots attribués à R. See also:Simeon Lakish, le 3ème siècle A.d.:1 "ce qui est cela qui est écrit, 'que je donnera à thee les tables de la See also:pierre, et la loi et le commandement, que j'ai écrit, ce See also:thou mayest les enseignent (xxiv ex. 12) '? les Tableaux de `, 'ceux-ci sont les See also:Dix mots (le See also:Decalogue); la loi de ` 'est le Scripture; ` et le commandement, 'qui est le Mishnah: 'que j'ai écrit, 'ce sont les prophètes et les écritures (c.-à-d. le Hagiographa), ` pour les enseigner, 'qu'est le Gemarathus nous instruisant que tout ceux-ci ont été donnés à Moses de See also:Sinai." La critique littéraire et See also:historique See also:place la discussion sur une autre base quand elle traite la mosaïque Torah sous sa forme actuelle comme compilation de poteau-exilic (environ le 5ème C.a. de siècle.) des See also:sources différant dans la date, l'origine et l'See also:histoire. Il n'y a aucune See also:raison a priori pour laquelle d'autres règlements légaux ne devraient pas avoir été courants quand la compilation a été faite la première fois: la législation de Pentateuchal est inachevée, et See also:couvre seulement une petite See also:partie des affaires de la vie dans lesquelles des décisions légales 'pour la convenance See also:Ben ("fils") et Rabbi sont, comme d'See also:habitude, abrégé au b. et R. See also:For la See also:citation qui suit, voient Oesterley et boîte, la See also:religion et le culte du See also:Synagogue (Londres, 1907) p. 51; et, sur le sujet, S. Schechter, étudie dans le judaism (Londres, 1896), See also:ch vii." l'histoire de la tradition juive "; E. See also:Weber, Judische Theologie (Leipzig, 1897), pp sqq. seq. et 130 de 91; Strack, CIT See also:op, p. 8 seq.; W.

Bousset, Relig. d. Judentums (See also:

Berlin, 1906), pp 176 sqq., et See also:juif Ency., iv. 423 sqq.; voir également l'See also:art. de See also:G. B. Gray's "littérature de loi" dans l'Ency. Bib.might soit nécessaire. Il doit y avoir eu un grand See also:corps d'utilisation auquel la société juive a souscrit; l'utilisation usuelle est une de la plupart d'attache des lois même parmi les communautés orientales modernes où les lois dans l'écriture sont inconnues, et un des dispositifs les plus intéressants est la persistance dans à l'est des formes et des principes étroit-connexes de la See also:coutume des temps les plus anciens à aujourd'hui. Des lois doivent être ajustées de temps en temps de satisfaire les besoins changeants, et les See also:nouvelles nécessités ont naturellement surgi dans la période grecque et romaine l'où les codes et les See also:utilisations plus anciens n'ont pris aucune disposition. Beaucoup comme la loi romaine a été dérivée des douze Tableaux, les lois écrites juives ont été employés comme autorité pour des modifications suivantes, et la continuité du système religieux-légal a-t-elle été fixée par un traitement habile de vieux précédents? Dans l'See also:article MIDRASH on le verra que le nouvel enseignement pourrait se justifier par une réinterprétation des vieilles écritures, et que les traditions d'anciennes figures bien fondées pourraient devenir le See also:cadre d'un enseignement considérablement plus See also:tard que leur âge. Il est probable que ce See also:processus ait été en grande partie sans See also:connaissance; et même si consciente, l'See also:analogie "de la fiction légale" conventionnelle et l'inquiétude habituelle pour éviter l'See also:aspect de la nouveauté est See also:assez pour prouver qu'il ne doit pas être condamné. Par l'aide d'une tradition un Midrash "haggadic" ou "halakic" (coutume ou idéaux de § de q.v.

1)contemporary pourrait sembler avoir des précédents antiques, ou au See also:

moyen d'un processus exégétique ils pourraient être directement reliés à de vieux modèles. Dans le vieux testament beaucoup de lois dans la législation de mosaïque sont certainement poteau-Mosaïque et la valeur de non quelques mensonges de récits, pas dans leur information historique ou See also:biographique, mais dans leur traitement de loi, le rituel, coutume, croyance, développements postérieurs de &c. sont exemplifiés dans la littérature pseud-epigraphical, notamment dans le See also:livre de See also:Jubilees, et quand nous atteignons le Mishnah et le Talmud, nous avons seulement la première d'une nouvelle série d'étapes qui, il peuvent être dites, aboutissons au ` Aruk, le grand abrégé de 16th-century Shulhan de la loi écrite et orale d'exister alors. Ainsi, le problème d'origine ou de l'antiquité de la loi orale non écrite, une chose vivante et liquide, se trouve en dehors de la portée de la critique; d'une plus grande utilité est l'étude des formes de détail que les lois ont prises dans les sources écrites qui de temps en temps incarnent le See also:legs jamais-changeant du passé. Le cours du développement entre l'See also:identification du supremacy du Pentateuch et de l'écriture réelle vers le bas du Mishnah et du Gemara peut être tracé seulement dans de grandes See also:lignes. On le sait qu'une grande masse de la tradition orale était See also:courante, et il y a un certain nombre de références tôt aux collections écrites, particulièrement de haggadah. D'autre See also:part, certaines références indiquent qu'il y avait une opposition forte à noter la loi orale. Il est possible, donc, que les travaux écrits étaient dans la circulation parmi l'instruit, et que ceux-ci ont contenu les interprétations variables qui étaient susceptibles de blesser des efforts de maintenir un judaism See also:uniforme. See also:Philo parle de, le See also:voµcµa de l'uvpta o'eypa.See also:ba WBi7 Kol (ED Mangey, ii. 629), et les traditions ésotériques orales du See also:Pharisees sont certifiées par See also:Josephus (xiii il), 6, Cf. 16, 2); cf. dans le nouveau testament, mat. xv 1-9, marque vii. 8, &c.; et les ens "répétitions" de bevrepc (cf. la See also:limite Mishnah) des pères chrétiens. Pour les collections écrites, voir le Strack, CIT op, pp E/S sqq.; J.

Theodor, juif Ency., viii. 552; J. Z. Lauterbach, ib., p. 614; W. Bacher, ib., XII 19; S. Schechter, Le Régime De See also:

Hastings. Bible, v. 62; et art. MIDRASH, § 5, dans ce travail. La théorie d'une tradition ésotérique est distinctement représentée dans 2 Esdras xiv, où Moses reçoit les mots qui ne devaient pas être édités, et Ezra récrit soixante-dix livres qui devaient être livrés aux hommes sages de ses personnes. En outre le livre de Jubilees sait des traditions écrites par See also:secret contenant des règlements concernant les sacrifices, &c., et See also:Jacob remet "tous ses livres et les livres de ses pères à Levi son fils qu'il pourrait les préserver et les remplacer pour ses See also:enfants (c.-à-d. priestly la See also:caste) à ce jour" (xlv.

16). 3. Croissance du Mishnah et du Gemara.According à la vue traditionnelle que See also:

Canon du vieux testament a clôturée avec le travail d'Ezra. Il a été suivi du Sopherim, des "scribes" (ou les hommes du grand Synagogue), à l'âge de Maccabaean, et ceux-ci encore par "appareille" (zugoth, See also:Gr. 'uyov), les têtes réputées du Sanhedrin, vers le bas à l'âge de Herodian (150-30 B.c.). Le See also:bout aboutissent à Hillel (q.v.) et Shammai, les fondateurs de deux grandes écoles rivales, et à cette paire célèbre le travail 2 voient W. R. See also:Smith, vieil essai, dans l'église juive, p. 51 seq., Iõ. du See also:rassemblement le hdldkoth ("décisions légales") a été attribué. La période suivante du Tannd'im, les "professeurs" (au sujet d'cA.d. 10-220), est ce de la croissance du Mishnah.' Parmi les meilleurs représentants connus des écoles sont Rabban (un See also:titre donné aux descendants de Hillel) See also:Gamaliel, le Phil-Hellene et professeur de l'apostle See also:Paul (Lois xxii. 3) et son fils Simeon (Josephus, vie, § 38 seq., See also:guerres, iv. 3, 9), et Rabban Jol}anan b.

Zakkai, fondateur du siège de l'étude chez See also:

Jamnia (Jabneh). Peu un plus tard (environ 90-130 A.d.) sont le Gamaliel célèbre II., Eliezer b. Hyrqanos (chez Lydda), et See also:Ishmael b. dont See also:Elisha, le bout a fondé l'école chez Usha et est renommé pour son développement des règles de l'exegesis encadrées par Hillel. Avec Rabbi Aqiba (q.v.) et les synodes de Jamnia (environ 90 et 118 A.d.) une époque définie dans le judaism commence. Chez Jamnia, sous la présidence de Gamaliel II. et Eleazar b. See also:Azariah, une collection de halakoth traditionnel a été formée dans le tractate 'Eduyyoth (plus grand qu'et ne pas être identifié avec IV., 7 ci-dessus). Ici, aussi, a été discuté le canonicity de la chanson des chansons et d'See also:Ecclesiastes, et il est probable qu'ici Aqiba et ses collègues aient fixé le texte officiel des livres canoniques. Aqiba a eu une part importante dans le développement précoce du Mishnah (Strack, pp 19, 89); et, dans le rassemblement du matériel, il a été suivi notamment de l'école d'Ishmael (au sujet de 1ó-1õ A.d.), qui a laissé sa marque sur le Midrashim halakic tôt (voir MIoRASu, le § 5, 1-3). Les noms plus intéressants incluent R. See also:Meir, un haggadist bien connu, R. Simeon b. Yohai, R.

Jose b. IJalaphta et R. Jehudah b. 'El'ai. Mais, pendant que des collections de décisions étaient prises par les professeurs en avant de temps en temps, la confusion a été provoquée par leurs différences en ce qui concerne les deux contenu et enseignement (Sotah, 2à; Shabb. 138b). En conséquence, vers la See also:

fin du deuxième siècle un effort complètement complet a été fait de ramener le halakoth à l'ordre. See also:Judah, petit-fils de Gamaliel II., connu sous le nom de See also:prince ou See also:patriarche (ndsi '), comme Rabbenu ("notre professeur"), ou simplement en tant que "Rabbi" par See also:excellence, était le rédacteur. Il a recueilli ensemble le matériel, en utilisant la collection de Meir comme base, et bien qu'il n'ait pas écrit le Mishnah comme il est maintenant, il l'a introduit dans essentiellement sa forme. Ses méthodes n'étaient pas exemptes de l'caractère arbitraire; il attribuerait "le See also:sage" l'See also:opinion d'une autorité simple qu'il a considérée comme correct; il ignorerait des avis contradictoires ou ceux des disciples qu'ils avaient après rétractés eux-mêmes, et il pas See also:scruple a cité son propre 2 de décisions la période du l''AAmord'im, des "orateurs, interprètes," (environ 220500 A.d.), était témoin de la croissance du Gemara, quand le Mishnah maintenant "canonique" a formé la base pour davantage d'amplification et pour le rassemblement du vieux et nouveau matériel qui est ennuyeux sur lui. En Palestine l'étude s'est épanouie à Césarée, Sepphoris, See also:Tiberias et Usha; Babylonia a eu les écoles célèbres chez Nehardea (du 2ème siècle A.d.), Sura, Pumbeditha et ailleurs.' De leurs professeurs (qui se sont appelés Rabbi et See also:Rab respectivement) plusieurs centaines sont connues. R.

IJiyya était redactor du Siphra sur See also:

Leviticus (MIDRASH, § 5, 2); à lui et à R. Hoshaiah la compilation du Tosephtd est également attribuée. Abba Arika ou Rab, le See also:neveu d'abord de la mentionnée, a fondé l'école de Sura (219 A.d.). Rab et Shemuel (See also:Samuel)"l'astronome" (mort 254 A.d.) étaient les pupilles d'"Rabbi" (c.-à-d. Judah, ci-dessus), et étaient famed pour leur connaissance de loi; si nombreux étaient leurs See also:points de divergence que le Talmud soulignera certaines décisions par le rapport que les deux ont été convenus. Le Gemara est beaucoup endetté à See also:cette paire et à Johanan b. Nappaha (199-279). Le dernier, fondateur de la grande école de Tiberias, a en effet été sur les See also:divers professeurs, particulièrement le Haggadists, See also:voit W. Bacher, der See also:Babylon d'Agada. Amoraer (See also:Strassburg, 1879), A. d. Tannaiten (1884, nouvelle édition commencée en 1903), A. d. See also:Pal. Amorder (1892).

2 voyez les critiques dans le juif Ency., viii. 612, et J. Bassfreund, Monatsschrift f. d. Gesch. u. Wissens. d. Judentums, 1907, sqq de pp 427. Sur les premières parties, voir le juif Ency., viii. 6io, et régime de Hastings. Bible, v. 61, See also:

colonne 2, avec les références.

Sur ces écoles, voir l'art. Juifs, § 42 seq.; et juif Ency., I. 145-148.venerated, sous l'autorité de See also:

Maimonides, comme rédacteur du Talmud palestinien; mais la présence du matériel postérieur et des noms postérieurs, par exemple See also:Mani b. Jona et Jose b. Abin (Abun), réfutent cette vue. Le Rabbah babylonien b. Nahmani (d. c. 330) a eu des capacités dialectales qui l'ont gagné le titre le "déracineur des tains de moun." Ses polémiques avec R. See also:Joseph b. IJiyya (connu pour le sien apprenant en tant que "Sinai"), et ceux entre leurs disciples Aba.yi et Raba sont responsables de plusieurs des discussions minutieuses dans le Gemara babylonien. En attendant les persécutions de See also:Constantine et de See also:Constantius ont provoqué l'affaiblissement des écoles palestiniennes, et, probablement au 5ème siècle, leur recension du Talmud était essentiellement complet. Dans Babylonia, cependant, l'étude toujours s'est épanouie, et avec Rab Ashi (352-427) l'arrangement du cadre actuel du Gemara a pu avoir été pris à disposition.

Sous See also:

Rabba Tosepha'a (mort 470) et Rabina, c.-à-d. Rab Abina (mort 499), têtes de l'académie de Sura, le recension babylonien est devenu pratiquement complet. En conclusion, le Sabora'e, des "explainers, opiners" (environ 500-540), a fait quelques See also:additions de leurs propres de la manière des explications et des nouvelles décisions. Elles peuvent être considérées comme derniers rédacteurs du thesaurus maintenant difficile à manier; moins probable est la vue, souvent maintenue depuis See also:Rashi (11ème siècle), que c'était la première notée dans leur âge.' 4. Le recension palestinien de deux Talmuds.The du Mishnah et du Gemara s'appelle "le Talmud de la See also:terre de l'Israel," ou du l'"T. de l'ouest"; un nom populaire mais fallacieux est "Jérusalem Talmud." C'est une compilation extrêmement inégale "ce qui a été réduit à l'écriture ne nous donne pas un travail mené à bien après qu'a preconcerted le See also:plan, mais représente plutôt une série de jottings répondant aux besoins des divers différents auteurs, et en grande partie prévu pour renforcer la mémoire" (Schechter). Les ennuis politiques et l'état malheureux des juifs fournissent probablement l'explication; par conséquent aussi l'abondance de littérature haggadic palestinienne dans le Midrashim, dont les "mots de la bénédiction et du See also:consolation" a faits davantage See also:appel à leurs sentiments que les écritures légales. Pal. Talmud n'a pas atteint l'éminence du recension de See also:soeur, et survit sous une forme très inachevée, bien qu'elle ait été peut-être une fois plus pleine. Elle se prolonge maintenant seulement aux ordres avec l'omission IV. de 7 et de 9, et avec l'addition d'une partie VI. de 7,5 que le Talmud babylonien (ou Tal. Babli) contient le Gemara à 362 tractates) mais le matériel est relativement très plein, et il est environ trois temps plus grands que pal, bien que le Gemara là se prolonge à 39 tractates. Dans le dernier le Gemara suit chaque See also:paragraphe du Mishnah; dans l'ancien, des références sont habituellement faites au part (dont les deux pages s'appellent a et le b), l'énumération des princeps d'editio étant maintenus dans les éditions suivantes. Le Mishnah est écrit sous une forme littéraire en retard d'hébreu; mais le Gemara est en araméen (excepté le Baraithas), celui du Bab.

T. étant un See also:

dialecte See also:oriental d'Aram. (apparenté à Mandaitic), celui de pal T. étant Aram. occidental (apparenté à Aram. biblique et au Targums). le See also:grec a été bien compris en Palestine cultivée; par conséquent le dernier recension emploie beaucoup de limites grecques qu'il n'explique pas; considérant que dans le Bab. T. elles sont beaucoup moins communes, et sont parfois punningly interpreted.° pal Tal. est plus le plus concis, mais il est remarquable pour les nombreuses répétitions des mêmes passages; ce sont utiles pour la critique du texte, et pour la lumière elles jettent sur l'imperfection du travail de la compilation. Le Bab. Tal., d'autre part, est diffus et plus See also:libre en sa See also:composition, et il est caractérisé par l'exuberance de Halakah, qui est habituellement plutôt subtile et forcé. Les deux See also:offre de Talmuds un bon See also:champ pour la See also:recherche (voir ci-dessous). Intéressent particulièrement le Baraithas qui sont préservés dans le Gemara dans l'hébreu; ils sont des décisions "externes" non incluses dans le plus bien fondé voient Strack, p. 16 seq. La vue a peu en sa faveur, bien que la mémoire ait joué un rôle plus important puis que maintenant. Pour les See also:aides mnémoniques tôt au Mishnah, voir le Strack, p.

68, le juif Ency., XII. 19. le ° le Mishnah était premier en critique édité par W. H. See also:

Lowe (See also:Cambridge, 1883). le ° les mots grecs sont traités par S. Krauss et I. Low, Griech. u. See also:Lat. Lehnworter (Berlin, 1898-9). Pour les éléments persans dans le Bab.

T., voir le juif Ency., vii. 313. Mishnah, mais eux diffèrent de et sont parfois plus anciens que le matériel de Mishnic, avec lequel ils sont en conflit parfois (tellement en particulier en ce qui concerne les décisions rejetées de l'école de Shammai). Ils commencent habituellement: "nos maîtres enseignés," "on lui enseigne," ou "il a enseigné," le verbe tendent (cf. Tannd'im, "professeurs") l'utilisation (voir davantage de juif Ency., ii. 513 seq.). Le parallèle au Mishnah est le Tosephtd, une compilation indépendante liée à R. See also:

Nehemiah (un contemporain de Meir et de Simeon b. Yohai), Hiyya b. Abba et d'autres; on l'arrange selon les ordres et les tractates de Mishnic, mais manque de IV. 9 et V. 9-11.

Phoenix-squares

Le halakoth sont plus plein et parfois plus ancien que les décisions correspondantes dans le Mishnah, et le traitement est généralement plus de haggadic.l la méthode de la fabrication de la pièce de discussions d'une interprétation du vieux testament (Midrash halakic), comme exemplifié dans le Tosephtd, est apparemment plus ancien que les décisions abstraites et indépendantes du Mishnahwhich présupposent une connaissance avec le basisand de Pentateuchal, comme l'emploi de narratif ou Midrash historique (par exemple dans le Pentateuch, le See also:

Chronicles et le Jubilees), était plus approprié à l'See also:exposition populaire que pour les académies. Pour l'autre littérature halakic qui va de nouveau à la période du See also:Tanna'Im, voyez le Mekiltd, le Siphrd et le Siphre, art. MIDRASH, § 5, 1-3. Le Talmud palestinien, bien qu'utilisé par le See also:Qaraites dans leurs polémiques, est tombé dans la négligence, et le recension babylonien est devenu, ce qui a depuis été il, le See also:guide bien fondé. Avec le Geonim, les têtes de Sura et de Pumbeditha (au sujet de 589-Io38), nous commenc sur une autre étape. Le Mishnah et le Gemara "canoniques" étaient maintenant les objets de l'étude, et les juifs dispersés ont lancé un appel les organismes centraux du judaism dans Babylonia pour information et les conseils. Le Geonim dans leurs "réponses" ou "remet en cause et répond" à des interprétations bien fondées fournies du vieux testament ou du Talmud, et réglé l'application de l'enseignement du passé aux conditions changées dans lesquelles leurs frères ont maintenant vécu. Les décisions légales, religieuses et autres formulées dans les communications pontifical d'une génération sont habituellement devenues venerated l'enseignement du prochain, et une nouvelle See also:classe de la littérature a ainsi jailli dans l'existence. (Voir le See also:GAON.) En attendant, pendant que les écoles babyloniennes se délabraient, l'étude de Talmudic a été assidûment poursuivie en dehors de son See also:maison orientale, et un certain Babylonien Talmudists a apparemment atteint l'ouest. Cependant, les fortunes du Talmud dans un monde hostile deviennent maintenant une partie de l'histoire des juifs, et les nombreuses vicissitudes intéressantes ne peuvent pas être récapitulées ici. (voir les JUIFS, le sqq du §§ 44.) À l'utilisation de Pal. Talmud par le Qaraites dans leurs polémiques avec le Rabbis nous devons la conservation de ce recension, inachevée bien qu'elle soit. À l'intolérance des chrétiens ne sont aucun doute dû le rarity de vieux See also:MSS., et l'état impur du texte des les deux Talmuds.

En même temps, le polemics a eu des résultats utiles depuis la polémique littéraire au 16ème siècle (quand Johann See also:

Reuchlin a pris la partie des juifs) mené aux princeps d'editio du Talmud babylonien (See also:Vienne, 1520-23). Un changement se See also:montre dans la deuxième édition (Bâle, 1578-81), quand le ` Abodah Zhrdh (au-dessus de, § 1. IV. 8) omis, et les passages qu'offensé étaient-ils les chrétiens ont été décommandés ou modifiés? En raison de la nature de son contenu le Talmud s'est tenu douloureusement nécessitant des aides et des guides, et une vaste quantité de travail (de valeur variable) a été consacrée à elle par des disciples de Jewish. Des nombreux commentaires le premier See also:endroit doit être donné à cela de R. See also:Solomon Izhaki de See also:Troyes (voir le RASHI); sa connaissance de la tradition contemporaine et de ses notes valables lui font un nouveau See also:point de départ dans l'interprétation du Talmud. De Rashi les disciples sont dus le Tosaphoth "additions," que, avec le commentaire "du commentateur," comme il a été dénommé, sont souvent reproduit dans les éditions imprimées du Talmud. Cette école (siècle de la France et de l'Allemagne, 12ème à 13ème) a développé un contraste casuistical et au-dessus-ingénieux d'interpretationin à l'See also:Espagnol que Talmudists qui a visé la simplification et le codificationand il a utilisé lui l'énonciation de Nabmanides (le 13ème See also:cent.) "ils essayent de forcer un éléphant par 1 transl de Lat.. des ordres I.-iii., V., par Ugolinus, Thes., xvii.-xx., ED récent par M. S. Zuckermandef (See also:Pasewalk, 188o); voir le juif Ency., XII le sqq 207. 2 sur la censure et la brûlure du Talmud, voir le juif Ency., iii.

642 sqq., XII 22; Strack, 71 seq., See also:

oeil de 78 sqq.the d'une See also:aiguille." Importante sont également l'introduction à et le commentaire sur le Mishnah par Maimonides (q.v.), et le commentaire de Rabbenu See also:Obadiah See also:di See also:Bertinoro (mort 1510). Tous les deux ont été souvent imprimés; ils ont été traduits par Surenhusius (See also:Amsterdam, 1698-1703). Voir le juif Ency., XII 27-30. Des résumés systématiques des parties légales du Talmud ont été faits par See also:Isaac Alfazi (ou "Riph," 1013-1103), et par Maimonides (Mishneh Torah, autrement appelé Sepher ha-Yad ou Yad ha-Hbzakah). Le dernier a préparé un grand See also:sommaire de loi religieuse et civile tout juive, le travail See also:standard sur lequel les théologiens chrétiens à partir du 16ème siècle a basé leur studiesand également leur criticismsof Rabbinism tôt. Le See also:calcinateur de Jacob b. b. Yebiel dans son See also:Tarim ("rangées") a présenté une collection bien-disposée de ces lois qui n'étaient pas devenues désuètes ainsi que l'addition des neufs. Le plus important de tous, cependant, est Shulhan 'Aruk ("table préparée "de Joseph See also:Caro), qui est venu dans l'âge de l'impression (1565), sauté dans la popularité, et a été, à son See also:tour, le sujet de beaucoup de commentaires et des manuels. Ce grand travail a systématisé la loi de Talmudic dans tous ses développements, See also:antique et moderne, écrit et oral (I. Abrahams, juif See also:Lit., Londres, 1906, p. 147 seq.; voir également les sqq. du juif Ency., iii., 584). L'histoire prolongée de la loi écrite et orale a ainsi atteint sa dernière étape dans un travail qui s'est développé hors du Talmud mais a eu ses racines dans un passé plus éloigné. Elle était à l'See also:aube d'une période où les codes antiques qui avaient été sans interruption réinterprétés ou rajustés devaient être examinés de nouveau sous l'See also:influence de plus nouvelles idées et méthodes de study.3 que les parties haggadic du Talmud ont été rassemblées: (a) du recension de Bab., dans le Haggadoth ha-Talmud (See also:Constantinople, 1511) et en en de Habib d'See also:ibn de Jacob '(oeil, bien de) Jacob (Salonique, 1516); et (b) de pal, par Samuel Yapheh (See also:Venise, 1589), et dans le Yalkut Shimeoni (voir le MIDRASH, le § 5, 9). Ceux-ci sont remplacés par les See also:traductions récentes faites par A.

Wunsche (Jer. T., Zurich, 188o; Bab. T., Leipzig, 1886-9). Le See also:

lexique standard était l''Aruk(h) de Nathan b. Yebiel de See also:Rome (c. Iloo) qui est à la base de tous les travaux suivants, notamment le grand Aruch Completum de A. Kohut (Vienne, 1878-1892; supplément, New York, 1892); voir davantage de juif Ency., iv. 58o seq. Des dictionnaires modernes des écritures rabbiniques plus anciennes ont été faits par J. Levy (Leipzig, 1876), M. Jastrow (Londres et New York, 1886), G. Dalman (Frankfort-sur-Frankfort-on-See also:Main, 1901).

Plus technique est Exeget de W. Bacher's. Jiid de Terminologie d.. Tradition-s'est allumé. (Leipzig, 1905). Les aides grammaticales sont modernes. Pour l'hébreu de Mishnic, voir le A. Geiger (See also:

Breslau, 1845), Strack et Siegfried (Leipzig, 1884), et essai de M. H. Segal's sur la relation entre Mishnic et hébreu biblique (Jew. See also:Quart. Inverseur, xx 647-737); pour l'araméen occidental, particulièrement G. Dalman, Jiid.

Pal. Aram. (Leipzig, 1905); pour Aram. oriental, S. D. See also:

Luzzatto (See also:transport de l'Eng.. par Goldammer, 1877), C. Levias (See also:Cincinnati, 1900), M. L. Margolis (See also:Munich, 1910), et également Manddische Gramm de T. See also:Noldeke's. (See also:Halle, 1875). Le texte du Talmud a été mal préservé; le travail critique beaucoup utile a été effectué par R.

Rabbinovicz, Variae Lectiones (Munich, 1876-86) pour le Bab. T., et par B. Ratner, Ahavath Zion (dans Heb., Wilna, 1901-2) pour le Jer. T. en ce qui concerne des traductions (un sujet en critique manipulé par E. Bischoff, Frankfort-sur-Principaux, 1899) et des textes, peu sont satisfaisants; certains ont été déjà mentionnés dans le § I; pour une pleine See also:

liste voir l'Einleitung de Strack, pp 144-155. On peut, cependant, mentionner les traductions en See also:anglais par D. A. de Sola et M. J. Raphall (18 tractates de Mishnic; Londres 1843); J. See also:Barclay (aussi un choix de 18; Londres, 1878), et l'édition (abrégée) du Bab. Talm. avec le texte et la See also:traduction par M. L.

Rodkinson (New York, 1869 sqq.). Le texte de Bab. avec une traduction See also:

allemande a été édité par L. See also:Goldschmidt (Berlin, 1897 sqq.). Le Plus pâle. Talm. a été traduit en Français par M. Schwab (See also:Paris, 1871 sqq.). 5. Des dispositifs d'intérêt et de Value.Although que le Midrashim ne tiennent pas la position bien fondée que le Talmud occupe, les deux groupes ne peuvent pas n'être maintenus distants dans aucune considération des dispositifs intéressants ou valables des vieilles écritures rabbiniques. Vu dans l'ensemble ils ont les caractéristiques de l'autre littérature palestinienne, des mérites et des défauts d'autres travaux orientaux. En ce qui concerne le Talmud, ni le Mishnah ni le Gemara suivant n'a visé à présenter un corpus digéré de loi. C'est vraiment une grande collection d'avis et de See also:vues, un mélange remarquablement hétérogène du contenu, pour lequel l'histoire de sa croissance n'est aucun doute en grande partie responsable. Il appals le lecteur avec son irrégularité de traitement, de ses See also:variations de modèle, et de ses transitions brusques du chant religieux au See also:brut et insignifiant, et de superstition à l'perspicacité la plus pure.

Comme le See also:

Koran elle est souvent concise à l'obscurité et ne peut pas être traduite littéralement; 3 il est intéressant de comparer le développement de la loi juive à celui du Mahomrnedan, See also:romain et les systèmes anglais, les points de ressemblance et la différence étant extrêmement suggestive pour autre étudie. Sur les codifiers juifs généralement, voir le S. Daiches en Aspects de L. See also:Simon de Heb. Genius (Londres, 1910), sqq de pp 87. il présuppose une connaissance qui a rendu des commentaires une nécessité égale, comme nous avons vu, aux juifs eux-mêmes. L'ouverture de l'ordre II. 6, par exemple, serait unintelligible sans connaissance de la loi dans Levit. xxiii. 42: "une See also:cabine (dont l'intérieur est) haute d'environ 20 cubits est rejetée. R. Judah la permet. Un qui n'est pas dix mains hautes, un qui n'a pas trois murs, ou qui a plus de soleil que l'See also:ombre est ` rejeté par vieille cabine?' (des marques de la citation et de l'interrogation doivent être fournies). L'école de Shammai le rejette; mais l'école de Hillel la permet, "&c.

Dans le Gemara, les décisions du Mishnah sont non seulement discutées, expliquées ou développées, mais toutes sortes de matière additionnelle sont suggérées par elles. Ainsi, dans la See also:

gemme de Bab. III. à 5, la référence dans le Mishnah aux fanatiques (TsKapeot) est l'occasion pour un See also:long See also:compte romantique des guerres précédant la destruction du deuxième temple. Dans IV. 3 la See also:prohibition fortuite du découpage vers le haut d'un rouleau de Scripture mène à une discussion la plus valable de l'arrangement de Canon du vieux testament, et à d'autres détails comprenant un certain compte du caractère et de la date du travail. Il y a des nombreuses interpolations haggadic, une partie d'intérêt considérable. La See also:prose se mélange avec la poésie, l'esprit avec la sagesse, le bon avec le mauvais, et pendant qu'une chose continue pour suggérer des autres, elle fait au Talmud une compilation légèrement rampante. Ce n'est à peine un livre de droit ou un travail de divinity; c'est presque une encyclopédie dans sa portée, un entrepôt reproduisant la connaissance et la pensée, sans connaissance et spéculatives, des siècles premiers de l'ère chrétienne. Une bonne idée de son hétérogénéité est eue les moyens par les traductions en anglais de Talmudic et d'autres commentaires par P. I. Hershon (Londres, 1880-5).

Pour les collections diverses d'extraits, voir le H. Polano (dans les See also:

classiques de See also:Chandos); See also:Chenery, légendes du Midrash; I. See also:Myers, gemmes du Talmud; S. See also:Rapoport, contes et maximes du Midrash; E. R. Montague, contes du Talmud. Une introduction générale valable à la littérature rabbinique (avec de nombreux extraits) est donnée par J. Winter et A. Wunsche, Gesch. d. Jiid.-Hellen. u.

Traces . Litteratur (See also:

Trier, 1894). La littérature n'a pas été entièrement explorée pour sa contribution aux diverses branches de la recherche ancienne. Sur les fables animaux, la plupart d'entre eux a trouvé également dans l'Indien et dans les collections classiques, voit J. See also:Jacobs, Fables d'See also:Aesop (Londres, 1889); pour le mythe, la superstition et le See also:folklore, voient D. See also:Joel, Aberglaube (Breslau, 1881), et M. Grunbaum, Semit. Sagenkunde (See also:Leyde, 1893), Ges. Aufsatze (Berlin, 1901); pour des mathématiques, voir le B. Zuckermann (Breslau, 1878); pour la médecine, J. Bergel (Leipzig, 1885), &c. Pour ces sujets, et pour la loi, zoologie, la géographie, &c.

&c., voyez les pleines et classifiées See also:

bibliographies en M. L. Rodkinson, Hist. de Talmud (New York, 1903), de See also:vol. ii. ch viii., et d'Einleitung de Strack, pp 164-175. Des évaluations ordinaires du Talmud sont souvent influencées par l'attitude du See also:christianisme au judaism et au légalisme juif, et par l'intérêt preponderating qui a été pris dans le côté religieux-légal des écritures rabbiniques. La See also:canonisation de la tradition orale dans le Mishnah a apporté les avantages et les inconvénients d'une religion légale, et les controversialists ont habituellement vu seulement un côté. Le légalisme excessif qui infiltre le Talmud était la See also:bourse de l'âge, et le Talmud souffre dans une certaine See also:mesure parce que les avis admis et les vues d'See also:isolement sont commingled. À ceux qui n'ont aucune patience avec les minuties de la législation, les discussions de prolix sont aussi ennuyeuses que les arguments semblent arbitraires). Mais les discussions de Talmudical étaient souvent simplement spécialiste et technique elles étaient des discussions universitaires et ecclésiastiques qui n'ont pas toujours touché la vie quotidienne; parfois elles étaient afin de réconcilier des vues plus tôt contradictoires, ou elles semblent même être de seules expositions de la compétence dialectale (cf., peut-être, Mk XII 18-23). Il peut supposer que ce predilection pour See also:casuistry stimulé cet esprit qui a poussé les disciples juifs des âges moyens pour étudier ou traduire l'étude du Greeks.2 de nouveau il wasfrom par point moderne de 1 viewold-façonné le sujet entier du légalisme juif devrait être comparé à l'Islam, où encore la loi et la religion sont une; en ce qui concerne l'aspect légal, voyez l'étude extrêmement suggestive et instructive, "les relations de la loi et la religion, l'cEl-Azhar de See also:Mosque," par I. See also:Bryce, études dans l'histoire et la See also:jurisprudence (1901), II. Le numéro xiii 2 qu'une partie du plus influent du Grec travaille dans les âges moyens avait traversé des traductions de See also:Syriac, des See also:arabes et hébreues avant qu'elles soient apparues dans leur!scholarship latin plus See also:familier de See also:robe; pourtant on peut maintenant identifier que dans le développement de la science et de la See also:philosophie européennes il a joué un rôle nécessaire, et on peut maintenant se rendre compte qu'encore l'See also:avantage était pour l'humanité commune plutôt que pour seuls les juifs. Il peut frapper un comme caractéristiquement juif que des encomiums exagérés et véritablement orientaux ont été passés sur un tel legalists et Talmudists comme Isaac Alfazi, Rashi ou Maimonides; néanmoins les juifs médiévaux pouvaient produire et apprécier l'excellente littérature de la description la plus diverse.

De toute façon, le Talmud doit être jugé, comme l'autre littérature religieuse bien fondée, par son endroit dans l'histoire et par sa survie. De l'âge aux catégories d'âge de lois ont été codifiés et à la loi de Priestly d'expandedthe du vieux testament, le Mishnah, le Talmud complet, les codifications suivantes d'Alfazi, de Maimonides, et finalement de Joseph Caro. Ainsi, le Talmud occupe un endroit intermédiaire entre les sources plus anciennes et ses développements postérieurs. À chaque étape la désintégration a été arrêtée, mais génie non juif; et la domination de la loi dans le judaism n'a pas en fait eu les résultats petrifying qui pourraient avoir été prévus. L'explication peut être trouvée en partie dans le sentiment intense de la solidarité unissant le Deity à ses worshippers et à ses worshippers parmi eux-mêmes. Aucune distinction n'a été dessinée entre les fonctions séculaires et religieuses, entre les conditions ceremonial, morales ou spirituelles. Des distinctions modernes d'être moral et ceremonial les systèmes inconnus et antiques doivent être jugées à la lumière de ces modes de pensée qui ne pourraient pas See also:

regarder la religion indépendamment de la vie. Le Talmud discute et See also:formule des règles sur les points que d'autres religions laissent à l'individu; il inculque des idées ceremonial et spirituelles, et a souvent installé la plupart des See also:normes morales élevées. Les liens, rigoureux et tout étrange qu'ils semblent souvent à d'autres, étaient un See also:sacrement enchâssé dans l'See also:imagination du palpeur le plus modeste du Talmud. Certains des legalists les plus vifs (par exemple le Babylonien Rab) sont célèbres pour leur enseignement moral, et pour leur part dans l'exposition populaire; un des meilleurs systèmes moraux du judaism médiéval (par ibn Pekuda de Bahya) est fondé sur le Talmud; le dernier exposant du légalisme rabbinique, Joseph Caro, était en même temps une mystique et un pietist; et la See also:combinaison du poétique avec le temperament légal est fréquente. Le Talmud a survécu aux tendances réactionnaires du Qaraites (q.v.) et du See also:Kabbalah (q.v.), et heureusement, depuis ces mouvements, importants bien qu'ils aient assurément été pour l'évolution de la pensée, n'a pas eu dans eux la See also:puissance d'être d'avantage durant à la See also:troupe de la communauté. En conclusion, aucune religion n'a été sans expositions de fanatisme et d'excès de la part de ses palpeurs, et si le vieux testament lui-même était l'autorité pour sorcière-brûler parmi des chrétiens, il n'est plus profitable de demander si le Talmud était responsable des offenses commises près ou alléguées contre ceux dont les vies ont été réglées par lui. D'autre part, le judaism n'a jamais été sans ses héros, martyrs ou See also:saints, et le fait qu'il vit toujours est suffisant pour montrer que le légalisme mécanique du Talmud n'a pas gêné la croissance de la religion juive.

Indépendamment de l'intérêt général de la littérature pour l'histoire et de son contenu pour différents départements de recherche, les méthodes exégétiques de Talmud sont particulièrement instructives. Il y avait des règles d'interprétation, et elles donnent l'expression à une idée dominante: il y a une potentialité infinie dans les mots du vieux testament, aucun est fortuit ou sans signification ou capable d'une interprétation seulement See also:

simple, elles étaient dites pendant toute l'See also:heure, "dans notre intéret également" et "pour notre étude" (cf. Paul, dans See also:Romans iv. 24, xv. 4). Ce ne favorisait pas l'enquête critique; les questions de l'historique du passage biblique ou du trustworthiness du texte n'ont à peine trouvé un endroit. L'interprétation elle-même est nettement subjective; par le côté de beaucoup qui est exegesis légitime, il y a beaucoup qui semble arbitraire à l'extrème. L'effort a été fait d'interpréter, pas nécessairement selon la See also:lettre, mais selon différentes conceptions de l'esprit et du See also:motif fondamental. Ainsi, la même évidence pourrait provoquer les interprétations contradictoires largement différentes, dont ne peut pas être directement déductible ou justifié par le Scripture. Par conséquent la valeur de l'enseignement, si halakic ou haggadic, se repose sur son valeur intrinsèque, et pas sur les principes exégétiques qui étaient les outils communs à l'âge. D'ailleurs, on l'a également considéré nécessaire que l'enseignement devrait être authentifié, pendant qu'il étaient, par son See also:association avec une autorité plus ancienne dont la position a garanti son authenticité. Pour cette raison des écritures anonymes ont été attribuées aux noms célèbres, et des traditions ont été jugées (comme dans l'Islam), pas tellement sur leurs mérites, comme par la chaîne des autorités qui les ont tracées de nouveau à leurs sources. Pour compléter ce qui a été déjà précisé dans l'article MIDRASH, il peut noter que la pénalité familière des "See also:quarante raies sauvent un" (2 See also:cor XI 24; Josephus, See also:fourmi, iv.

8, 23) est discuté dans le Mishnah (Makkoth, iv. 5), et est plus tard expliqué par une interprétation extrêmement artificielle de Deut. xxv 2 ou 3 (comme si "au numéro 40"). Mais la pénalité est évidemment plus ancienne que, et entièrement indépendante de, l'explication arbitraire par laquelle elle est soutenue. Encore, rending des vêtements à l'occasion d'une See also:

charge du blasphème (xxvi mat. 65) est relié réellement à Joseph b. Qorha du 2ème siècle A.d. (Sanhed., vii. 5), bien qu'ailleurs ce halakah soit See also:anonyme. Ici l'effort a été fait de justifier une See also:pratique, mais la tradition n'était pas unanime; et elle se produit souvent que le Talmud préserve les différentes traditions concernant le même enseignement, différentes versions de lui, ou il est attribué à différentes autorités (voir le juif Ency., XII p. 15, la colonne 2). Le fait que certain enseignement est associé à un nom peut ne pas avoir aucune vraie signification pour son antiquité, même pendant qu'une loi attribuée à l'âge de Mosesthe identifiait la loi-givermay s'avèrent être de commencement beaucoup plus tôt ou beaucoup postérieur. Ce See also:dispositif complique naturellement toutes les questions affectant l'origine et l'originalité, et ne peut pas être ignoré dans n'importe quelle étude du Talmud dans son See also:roulement sur le nouveau testament.' Des formes semblables ou relatives d'interprétation et d'enseignement sont trouvées dans le Talmud, dans le judaism hellénistique, dans le nouveau testament, dans de premiers pères d'église et dans des auteurs de Syriac.

En ce qui concerne le nouveau testament lui-même, les points de similitude sont beaucoup et souvent importants. On l'a affirmé que "les écritures des critiques juifs récents ont tendu dans l'ensemble à confirmer l'See also:

image de See also:Gospel de la vie juive See also:externe, et où il y a See also:anomalie ces critiques tendent à montrer que le blâme se trouve pas avec les nouveaux originaux de testament, mais avec leurs interprètes." Le Talmud fait également "les détails croyables que beaucoup d'expositors chrétiens ont été plutôt inclinés pour contester. La plus remarquable a-t-elle été de toute la force cumulative des arguments apportés par des auteurs de Jewish favorables à l'authenticité des discours dans le quatrième Gospel... "2 les points de See also:contact entre la phraséologie dans le Gospel de See also:John et le Midrashim tôt sont-ils particulièrement intéressant? La popularité du See also:parable car une forme d'enseignement didactique trouve beaucoup d'exemples dans les écritures rabbiniques, et certains ont des parallèles remarquables dans le nouveau testament.' On le sait qu'il y avait des polémiques theological entre les juifs et les chrétiens, et dans le Midrash Bereshith Rabbah (MIDRASH, le § 5, 5) est un passage (traduit dans juif Ency., viii. 558) dirigé contre la vue chrétienne qui a trouvé le soutien de la See also:doctrine de la trinité dans le générateur i. 26. Mais elle est incertaine à quelle distance les doctrines du judaism ont été influencées par Christianity, et on le conteste même si le Talmud et le Midrashim peuvent être employés pour estimer la pensée juive 'là sont beaucoup de détails dans le Talmud qui ne peut pas être daté; si certains sont évidemment contemporains, d'autres trouvent des parallèles dans Babylonia antique, par exemple dans le See also:code de Hammurabi. Voir Le L. N. Dembitz, Jew. Quart.

Inverseur, xix 109-126, et la littérature sur le code (voir la LOI BABYLONIENNE). Des exemples divers nombreux du rapport intime entre le matériel oriental rabbinique et plus ancien seront trouvés en H. Pick, u. Talmudisches (Berlin, 1903) d'Assyrisches; A. Jeremias, Bab. im N. Test. (Leipzig, 1905), Essai D'Alte. im Lichte d. See also:

Allen See also:oriente (ib., 1906); E. Bischoff, u. Midrasch (ib., 1907) des astrales im Welibilde d. Thalmud de Bab..

2 I. Abrahams, sur "les aides rabbiniques à Exegesis," dans Cunib de Swete. Bibl. Essays (1909), p. 181. Voyez l'essai de Schlatter, le See also:

casque d. de u. de Sprache vierten Evangalisten (1902). 'voir le P. Fiebig, jild d'alt. U. d. Gleichnisse Jesu (Leipzig, 1904) de Gleichnisse; Lauterbach, juif Ency., ix 512 sqq.; Oesterley et boîte, p. 96 seq. xXVI.

1óf le 1er ou 2ème travail valable d'cA.d. Much de siècle a été fait par les disciples juifs modernes sur "la critique plus élevée" de ces écritures, que, il doit être rappelé, gamme au-dessus de plusieurs siècles, mais il reste toujours difficile jusqu'ici leur contenu. D'ailleurs, dans l'essai pour esquisser la théologie du judaism tôt il a été facile de trouver dans les idées hétérogènes et contradictoires un système qui était See also:

conforme aux vues préconçues, et de rejeter en tant que tard ou exceptionnel celui qui ait indiqué contre elles. En lui considérant l'évidence est une tâche sensible d'éviter de confondre sa signification pour son âge avec cela qui a apparu le See also:seul normal ou approprié aux interprètes suivants (si juif ou chrétien) qui ont été nécessairement influencés par leur environnement et par pensée contemporaine. À tous les événements, si ces écritures ont beaucoup de vieux éléments et peuvent être employées pour illustrer le fond du nouveau testament, elles illustrent non seulement le légalisme et le ritualism excessif contre lesquels le christianisme tôt a contesté, mais également le côté plus spirituel et plus moral du judaism. Sur cette dernière phase les écritures pseudepigraphical et apocalyptiques ont le See also:hangar beaucoup de lumière inattendue en liant le vieux testament avec la théologie chrétienne et rabbinique. Les divers problèmes qui surgissent sont toujours à l'étude, et sont de grande importance pour l'étude de la pensée palestinienne à l'âge du départ des manières. Ils touchent, d'une part, l'originalité absolue du christianisme et de son attitude au légalisme juif, et, de l'autre, à l'endroit vrai du pseudepigrapha dans la pensée juive et à l'antiquité du judaism qui domine le Talmud. Ils, cependant, n'excluent pas la possibilité qui par le côté du See also:scholasticism des cercles universitaires juifs tôt était la pensée plus populaire qui, formant un See also:lien entre les juifs et les chrétiens, est finalement tombée dans la négligence pendant que le judaism et le christianisme formulaient leurs théologies. Sur la relation étroite entre la pensée de l'âge, voir le B. See also:Ritter, u. d. Halacha (Leipzig, 1879) de Philo; M.

Grunwald dans Monaisbldtter de Konigsberger (Berlin, 1890); N. I. Weinstein, genèse d. Agada (Frankfort-sur-Frankfort-on-Main, 1901) de Zur; W. Bousset, Relig. d. Judentums, pp 50 sqq.; ED de R. Graffin's d'See also:

Aphraates (q.v.) (Paris, 1894), P. xlix. seq.; S. Trouille sur les éléments haggadic dans Aphraates (Vienne, 1891); et art. MIDRASR, § 4. À cet égard Lit. pseudepigraphic est fréquemment de plus grand intérêt; ainsi marque. iv.

24 trouvailles un parallèle étroit dans "le testament de Zebulun," viii. 3 (R. H. See also:

Charles, Essai. de XII. Les patriarches, p. 117), et ne diffère pas essentiellement de l'énonciation attribuée à Gamaliel II. (Shabb. 51b) et d'autres. Un parallèle étroit à vii. mat 3 est attribué à R. Tarpon, dernière moitié du 1er siècle A.d. (Arak.

16b: "si on indique, prenez le mote de l'oeil thy, il répond, prend au See also:

faisceau de l'oeil thy"); il semble avoir été une énonciation populaire (voir le baba Bathra, 15b). Voyez plus loin, pour le Talmud et le Midrashim par rapport au nouveau testament généralement, la littérature dans Strack, pp 165 sqq.; également A. Wiinsche, z. Erldut de Neue Beitrage. d. Evangelien (See also:Gottingen, 1878); C. H. Toy, judaism et christianisme (Londres, 1890; avec Schechter l'essai dans le sien étudie [ 1896 ], pp 283-305); H. Laible, Jésus Christus im Talmud (Berlin, 1891); R. T. See also:Herford, christianisme dans Talmud et Midrash (Londres, 1903; avec la See also:revue de W. Bather's en Jew.

Quart. Inverseur, xvii. 171-183); Bousset, CIT op; Oesterley et boîte, CIT op (avec la revue de C. G. See also:

Montefiore's en Jew. Quart. Inverseur, 1908, pp 347-357); I. Abrahams dans Camb de Swete. Bibl. Essays (1909), pp 163-192; C. G. Montefiore, Gospels Synoptique (1909); H.

L.Strack; Jésus, See also:

matrice de u. de Hdretiker de matrice baptisent (1910). Le Talmud lui-même est toujours le guide bien fondé et pratique de la grande masse des juifs, et est trop étroitement relié au contemporain et une histoire palestinienne plus tôt aux résultats de soit négligée par Christians. Avec le progrès de la recherche moderne de critique la valeur de ceci et des autres vieilles écritures rabbiniques See also:re-est estimée, et la critique a forcé une modification de beaucoup de vieilles vues.' Ainsi, une référence tôt au titre d'un travail ne montre pas qu'elle est See also:celle ce qui est maintenant See also:courant; ceci s'applique, par exemple, au ` Eduyyoth de tractate (voir le juif Ency., viii. 611), et au Midrash Siphre, qui diffère fréquemment de celui comme connu du Talmud (ib., XI 331). On l'a constaté qu'une tradition, toutefois '"la critique plus élevée" de ces écritures a les moyens beaucoup de conseils et suggestions utiles pour cela d'autres travaux composés, par exemple le vieux testament. Il peut noter également que les références au vieux testament représentent parfois un texte légèrement divergent; voir le V. A. Aptowitzer, Schriftwort dans d. Rabb. Lit. (1906); I. Abrahams, Camb.

Bibl. Essais, sqq de pp 172. II tenacious ou circonstanciel, n'est pas nécessairement véritable, et celui non plus malgré la chaîne des autorités par lesquelles son antiquité ou authenticité a semblé être confirmée. La See also:

confiance implicite peut plus n'être nécessairement placée sur la profession d'auteur ou la direction éditoriale réputée d'un travail; encore, bien que plusieurs des vues des juifs médiévaux s'avèrent à cet égard incorrectes (par exemple sur la profession d'auteur du Zohar; voir le KABBALAH), ils peut parfois préserver le souvenir d'un fait qui a besoin seulement d'See also:ajustement (par exemple R. Johanan comme rédacteur de Pal. Talmud). En conclusion, le Talmud vient à l'fin d'un développement très prolongé de pensée palestinienne (voir la PALESTINE: Histoire). Elle est alignée en See also:direct de descente de la vieille littérature de Testamentintervening ayant été une essence de lostthe dont elle fait ses propres. Forcé par les événements de l'histoire, ce legs du passé a été soumis aux processus successifs et adapté aux besoins des générations successives et des conditions historiques et sociales largement différentes. Les abrégés et les systèmes légaux de la philosophie ont servi leur âge et ont donné l'endroit aux développements postérieurs; et l'élasticité de l'interprétation qui la caractérise lui a permise de survivre à Karaites et à Kabbalists. Elle a également échappé au classicism de la Renaissance avec son insistance sur le fait ou la fiction de testeither. Car un travail oriental parmi un peuple oriental l'influence morale et spirituelle du Talmud s'est reposé sur son raccordement avec une histoire qui a lancé un appel l'imagination et les sentiments, sur son hétérogénéité du contenu approprié pour tous les modes et esprits, et sur les effets unifiants et regulative de son légalisme. La relation de Talmudism avec le vieux testament a été comparée avec celle de la théologie chrétienne au Gospels; la comparaison, que s'adaptant ou pas, puisse au moins permettre de comprendre les attitudes variables des penseurs juifs à leurs sources antiques.

Avec un contact plus étroit à l'ouest un-oriental et avec les tendances inévitables de la bourse occidentale moderne le Talmud a commenc sur une nouvelle période, une que, bien qu'il puisse dire jusqu'ici dès Moses Mendelssohn (voir les juifs, le § 48), a atteint une étape plus distinctive à aujourd'hui. Dans l'affaiblissement de cette autorité qui avait été attribuée presque unanimement au Talmud, et invariablement au vieux testament, une nouvelle et plus grande See also:

contrainte a été étendue sur le judaism pour réinterpréter son esprit une fois de plus pour répondre au divers veut de ses adhérents. Ce fait partie de cela plus grand et qui See also:serre le problème psychologique d'ajuster l'"autorité" attribuée aux écritures passées sur celle de l'expérience humaine collective; il ne confronte pas seul le judaism, et il doit suffire pour se rapporter aux écritures "du judaism reformé"; voyez, par exemple C. G. Montefiore, le judaism libéral (Londres, 1903); Vérité dans la religion. (1906); I. Abrahams, Judaism (1907), et les essais de S. Schechter. L'auteur désire exprimer son endettement à M. Israel Abrahams pour suggestions bibliographiques et autres. (S. A.

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